Avant de trouver les bons produits, d'apprendre les bons gestes, de choisir les bonnes couleurs, on a toutes procédé à des tentatives plus ou moins heureuses ... et parfois catastrophiques !
Ce sont ces petites anecdotes que My Beauté nous invite à raconter pour ce nouveau défi du lundi (http://mybeauty.over-blog.com/article-le-defi-du-lundi-nos-beauty-flops-86808345.html).
Des flops, j'en ai des tonnes à mon passif ! Mais aurais-je le cran de les raconter ? Humm. Je me tâte ...
En même temps, qui peut se vanter de n'avoir jamais fauté ?
Allez, je me lance :
1 - les catastrophes dépilatoires
Avant de trouver la bonne méthode pour m'épiler, il m'est arrivé de me retrouver ou avec des poils incarnés (et des cicatrices après avoir tenté de les extraire avec violence), ou encore des inflammations de la peau.
J'ai également essayé la décoloration du duvet avec les mauvais produits. Quand on est brune, le duvet devient jaune et non transparent !
2 - les catastrophes capillaires
A une époque, je suis passée par toutes les teintes de roux. Etant brune, il m'a fallu procéder au préalable à une décoloration. Mal dosée, je me suis retrouvée blonde platine, teinte sur laquelle n'importe quel roux s'est avéré clownesque !
J'ai par ailleurs mis du temps à comprendre que sur mes cheveux, les soins à l'huile devaient se faire avant shampoing et non après ... j'ai donc du affronter le monde extérieur avec des cheveux huileux.
Je ne sais pas ce que vaut la laque de nos jours mais à une époque, il était impossible de toucher à ses cheveux après les avoir aspergé de laque ... au risque de se retrouver avec la chevelure parsemée de pellicules.
3 - les catastrophes maquillage
La lumière est essentielle quand on se maquille. Quand j'étais jeune, j'avais entendu dire que les stars de Hollywood se maquillaient à la lueur d'une bougie. J'en ai fait de même, sauf que mon maquillage était destiné à être exposé à la lumière naturelle !
La couleur est également fondamentale. J'ai longtemps essayé d'appliquer des couleurs déclarées comme étant "à la mode" mais qui n'étaient pas adaptées à ma carnation. Le résultat ? Un teint grisé, un regard plombé ...
Quand on a des imperfections, on essaye toujours de les camoufler. Mais quand on a tendance à avoir la main lourde, on obtient l'inverse de ce que l'on espérait. Less is more ! Définitivement.
4 - les catastrophes vestimentaires
La mode nous pousse à aimer des vêtements que l'on déteste dix ans après. C'est ainsi.
Mais il y a pire ! C'est de n'avoir pas conscience de sa silhouette réelle et de tenter de camoufler à tous prix ce qu'on n'assume pas ... et en particulier ses rondeurs.
Au final, on tasse sa silhouette, on ressemble à un sac. Avec un peu plus de complaisance et d'estime de soi, on arrive par tirer parti de ce que l'on souhaitait cacher.
Aujourd'hui, je ne prétends pas d'être à l'abri de nouvelles erreurs. Je dois sûrement en commettre. Mais j'imagine que comme en toute chose, la "beauté" est un long apprentissage qui commence par le fait d'accepter ses faiblesses.
