Ça me déprime toujours un peu de réaliser que j'ai le cheveu sec, terne et cassant.
Lors de cette petite chute de moral, je suis particulièrement sensible et crédule face aux promesses des produits capillaires.
Est-ce vraiment réaliste de penser qu'un masque pourrait en une minute chrono réparer le cheveu tant en profondeur pour réparer ses cellules qu'en surface pour le sublimer, grâce à son triple concentré de kératine liquide ?
J'ai eu la faiblesse d'y croire et ai acheté le masque capillaire Gliss Kur Ultimate Repair de Schwarzkopf en mono dose au prix de 95 cents le tube de 20 ml (voir mon shopping en Allemagne ici et là).
Petite dépense afin de les tester et me décider à acquérir (ou non) le pot 200 ml dont le prix est de 6 euros.
20 ml est une dose largement suffisante pour des cheveux longs.
Une fois ouvert, le tube ne pouvant se refermer, je ne suis pas sûre que cette contenance soit une bonne idée pour les cheveux courts.
De sa composition exacte qui est la suivante :
aqua, cetearyl alcohol, behentrimonium chloride, glycol distearate, dimethicone, distearolethyl hydroxyethylmonium methosulfate, dacprypyl carbonate, polyquaternium-37, cocodimonium hydroxypropyl hydrolyzed keratin, hydrolyzed keratin, panthenol, phenoxyethanol, methylparaben, parfum, propylene glycol, propylene glycol dicaprylate / dicaprate, ppg-1 tricedeth-6, citric acid, hexyl cinnamal, sodium sulfate, linalool, limonene
je détecte, outre de la kératine (sauf erreur de ma part d'origine animale), des silicones et des parabens.
Sa texture est celle d'une crème légère et fondante qui se répartit facilement dans les cheveux et dont le parfum est plutôt agréable.
Le temps de pose est d'une minute mais je l'ai laissé cinq bonnes minutes, le temps de gommer mon corps.
Il se rince facilement, laisse effectivement les cheveux doux et brillants ... mais uniquement sur le court terme car quelques jours plus tard, ma crinière manquait à nouveau d'éclat.
Il faudrait être crédule pour penser qu'un soin express puisse traiter en profondeur les cheveux.
Il semblerait que je l'ai été ...
