A voir le nombre de billets que j'ai consacrés aux disques de coton (notamment ici), on pourrait presque croire que j'en fais une obsession.
Or, il n'en est rien.
Avant, je ne m'y intéressais pas plus que ça, les achetant au gré de ma fantaisie et privilégiant avant tout leur (bas) prix.
Puis, j'ai réalisé qu'ils participaient au plaisir du démaquillage et, qu'étant feignante en la matière, j'avais besoin de me motiver avec des produits agréables.
Parce que mes préférés sont les disques de coton bio de Kruidvat (1,25 euro les 80 disques), c'est tout naturellement qu'étant à court de cotons lors de mon dernier séjour en France, je me suis tournée vers les disques bio de Monoprix.
Leur prix est de 1,74 euro les 70 disques.
Ils possèdent deux faces : une face lisse et une face alvéolée.
Leur origine bio est certifiée par le label Ecocert Greenlife qui impose, s'agissant d'un textile biologique que 95% des fibres soient issues de l’agriculture biologique (avec 5% maximum de fibres synthétiques ou artificielles), c'est-à-dire sans engrais ni pesticides chimiques.
A priori (d'après ce que j'ai compris), les fibres sont blanchies à l'oxygène et non au chlore.
Ils ont une épaisseur satisfaisante qui permet de les dédoubler facilement pour retirer le vernis à ongles (voir la méthode ici).
Par contre, j'ai trouvé que ces disques manquaient de douceur.
Rentrée chez moi, je les ai comparés à mes disques habituels et ma première impression a été confirmée.
Sur la face lisse, censée être bienveillante pour ma peau, les disques de Kruidvat (1) sont bien plus doux.
Sur la face alvéolée, là encore, mes disques préférés (1) sont plus efficaces au démaquillage.
Et en terme d'épaisseur, ils se valent.
Les disques bios de Monoprix ne sont pas une catastrophe mais je leur préfère ceux de Kruidvat qui sont par ailleurs moins chers !
