Il y a des filles qui ont de la chance, elles n'ont pas de cernes et ont toujours le regard frais.
Il y en a d'autres qui, pour estomper l'ombre légère qui s'affiche sous leurs yeux les jours où elles sont fatiguées, peuvent se contenter de dégainer leur anti-cernes.
Et puis, il y a les autres ... et j'en suis.
Mes cernes sont tellement foncés et marqués qu'aucun anti-cernes n'arrive plus à les camoufler.
J'ai pourtant essayé tous types de produits et ai testé pas mal de techniques différentes ... en vain...
En même temps, je suis réaliste : l'âge, le facteur génétique et mon hygiène de vie expliquent facilement la présence de mes cernes (et de mes poches) et il faut que je m'y habitue.
J'ai bien essayé de les réduire ( Je soigne mes contours ! ), comme j'ai des petites astuces pour éclairer mon regard ( Comment la poudre minérale ELF revitalise mon regard ), mais ce n'est pas suffisant, mon regard reste plombé.
Depuis peu, je me suis mise au correcteur ... en plus de l'anti-cernes.
Contrairement à ce que j'ai longtemps pensé, le correcteur n'a pas la même fonction que l'anti-cernes.
Le correcteur s'utilise sous ou sur le fond de teint, mais avant l'anti-cernes. Son rôle est de neutraliser la couleur de l'imperfection à camoufler (ici, on parle de cernes, mais il peut aussi s'agir de rougeurs, de tâches de pigmentation ...).
La teinte du correcteur se choisit en fonction de la couleur du cerne (et non de la carnation). Il peut être de couleur "peau", mais aussi vert, bleu, violet, jaune ou orange.
Je vous reparlerai de la théorie des couleurs.
Pour camoufler les cernes, on commence par appliquer son correcteur aux endroits où la couleur doit être neutralisée, puis on applique son anti-cernes.
La fonction de ce dernier n'étant que d'éclairer le cerne, il doit être d'une teinte plus claire que le reste du visage.
Puis on fixe le tout en poudrant.
Je ne maîtrise pas encore la technique que je dois encore améliorer. Mais d'ores et déjà, je constate une nette amélioration dans le camouflage de mes cernes.
