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7 juillet 2010 3 07 /07 /juillet /2010 03:31

La première vague de chaleur vient de s’achever. Mais ce ne sera pas la dernière de la saison. Les météorologues annoncent un été caniculaire qui ne sera pas sans conséquences sur notre routine beauté.

 

Il convient donc de les adapter aux conditions climatiques un peu extrêmes  que nous allons devoir subir.

 

Une grande partie de nos produits cosmétiques sont sous forme de crèmes (crèmes de soin, fonds de teint, fards divers, mascaras, gloss et rouges à lèvres, ) dont la consistance va être modifiée, voire endommagée,  sous l’effet de la chaleur.

 

Pour préserver la qualité de nos chers produits, pour éviter qu’ils ne suintent, transpirent ou virent, une seule solution : les placer tout simplement dans notre réfrigérateur.

 

 

 

flocon[1]

 

 

En outre de les conserver dans de bonnes conditions, ce stockage aura un effet bénéfique pour notre peau. La fraicheur des produits aura un impact rafraichissant, tonifiant et astringent. Sans négliger que notre circulation sanguine en sera améliorée.

 

C’est pourquoi, c’est sans hésitation que nos brumisateurs, lotions toniques et divers gels rejoindront également les étagères de notre frigo.

 

Nos vernis à ongles apprécieront aussi ce mode de conservation, ce qui prolongera leur durée de vie en évitant de les rendre pâteux avant l’heure.

 

Ces généralités étant énoncées, restent à évoquer les questions « techniques ».

 

La première étant : dans quelle partie du frigo les cosmétiques doivent-ils être conservés ?

 

 

Il n’y a pas de règle mais d’instinct, je placerais tous les produits liquides en haut du frigo, là où la température est la plus basse.

 

Quant aux produits crémeux, j’aurais tendance à les placer dans le bas du frigo ou dans le compartiment à légumes.

 

La seconde étant : à défaut de frigo, comment conserver ses cosmétiques ?

 

Si vous vous trouvez sans frigo (chambre d’hôtel, camping, en visite chez des amis, etc. …), la façon la moins mauvaise de conserver ses cosmétiques est de les placer dans un endroit frais et privé de lumière.

 

La troisième et dernière question étant : est-il judicieux d’investir dans un frigo à cosmétiques ?

 

Certaines n’apprécient pas de retrouver leurs produits de beauté au milieu de denrées alimentaires et préfèrent posséder un frigo spécifique. Cet argument n’est pas pertinent car des précautions élémentaires permettent d’isoler nos produits (conservation dans une pochette ou sur une étagère consacrée).

 

D’autres, chanceuses qu’elles sont, habitent dans une grande maison et ne veulent pas avoir à se maquiller à proximité de leur cuisine. Que dire ? Si ce n’est que ce mode de conservation n’impose pas de se préparer dans la cuisine, qu’il suffit de prélever en une fois les produits contenus dans la trousse, et de les remettre ensuite … sachant qu’aucune d’entre nous (à part de rares exceptions) verront un inconvénient à bruler quelques calories a déplacer leur corps de déesses.

 

Enfin, si certaines veulent se faire plaisir (parce qu’elles en ont les moyens en terme de place et/ou de budget), et qu’elles souci à s’exposer à une dépense supplémentaire d’énergie (loin de moi l’envie de donner des leçons de morale à qui que ce soit …), qu’elles ne se gênent pas et qu’elles fassent l’acquisition d’un mini-frigo à cosmétiques.

 

Justement ! La marque de cosmétiques bio DOUX ME - http://www.douxme.com- (dont les produits ne contiennent aucun conservateur chimique, ne sont pas testés sur les animaux se conservent au frais en toutes saisons) vient de sortir, en édition limitée un mini-

frigo  : 

 

product picture 16[1] 

 

http://www.douxme.com/?i=46&PHPSESSID=9b4726fb960d209a6dbdc749a7acf929

 

C’est vrai qu’il est plutôt mignon ce mini-frigo, dont les couleurs sont raccord avec  les couleurs de la gamme de produits (fond blanc pur et calligraphie subtile rose tendre), dont la porte est vitrée (ca, je ne suis pas sure que ce soit une bonne idée (en terme d’exposition à la lumière).

 

A part les dimensions (hauteur : 51cm, largeur 41cm, longueur 43cm), aucun détail technique n’est donné par le site de la marque.

 

Alors comment justifier la coquette somme qu’il nous faudra débourser pour l’acquisition de ce « gadget » ? Le prix en est de 199 euros.

 

La température constante de ce frigo serait-elle particulière ? Son aménagement intérieur serait-il particulièrement adapté ?

 

J’en doute.

 

Alors si vous souhaitez réellement vous offrir ce petit caprice, pourquoi ne pas limiter l’investissement et acquérir un mini-frigo banal, dont la gamme de prix commence a 50 euros ?

 

Il suffit de googeler « mini frigo »… Et sincèrement, ils sont loin d’être moches ces frigos :

 

 

intro[1] 

 

http://www.ldlc.com/articles/AL00000360-1/mini-frigo.html

 

D’autant plus que leur encombrement est moindre (hauteur : 19,6cm, largeur 26,30 cm, longueur 28,50cm), soit de quoi contenir 6 canettes de 33cl, ce qui est largement suffisant pour nos produits.

 

Personnellement, je me contente du frigo de ma cuisine et apprécie chaque jour de canicule (et pas seulement ces jours-là) ce petit moment de fraicheur matinale.

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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 16:50

On prétend souvent que le noir ne serait pas une couleur, qu’il ne reflèterait pas la lumière, qu’il serait triste et chargé de symboles négatifs.

S’il est vrai que le noir n’émet ni ne reflète aucune part du spectre de lumière visible, il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’une vraie couleur, se déclinant en plusieurs nuances, et dont la symbolique varie en fonction des époques comme des tropiques.

Henri  Matisse, ce génie de la couleur (le peintre a été le chef de file du fauvisme), disait du noir qu’il était une couleur en soi, qui résume et consume toutes les autres.

En effet, le noir résulte à la fois de l’addition et de la soustraction de toutes les couleurs. Et le résultat de cette opération supposée neutre donne une couleur toute en nuances (noir de carbone, noir d’animal, noir de jais, noir d’ivoire …).

Adoré sous l’Antiquité et alors lié à la fertilité, le noir est ensuite diabolisé par le Christianisme à compter du 11ème siècle.

300 ans plus tard, le noir se rachète une vertu : n’étant pas considéré comme une couleur, laquelle est proscrite comme élément de luxe, le noir est adopté par les cours d’Europe, puis par le gens d’Eglise, et gagne en noblesse comme en moralité.

En raison de cette demande grandissante de noir, l’offre doit s’adapter, contraignant les teinturiers à expérimenter de nouveaux ingrédients, à créer de nouvelles nuances.

Au 18ème siècle, les couleurs les plus variées explosent et relèguent le noir, comme le blanc, au rang de non-couleurs.

Exaltant le mystère et le fantastique, le romantisme réhabilite le noir, voire le sublime.

Depuis, le noir symbolise l’autorité, l’élégance et la modernité.

Devenu au cours des 16eme et 17eme siècles l’un des principaux centres européens de la teinture du noir, Anvers rend aujourd’hui hommage à cette couleur par le biais d’une exposition organisée par le Musée de la Mode (MoMu) du 25 mars au 8 aout 2010.

 

images[6]

 

Cette exposition retrace l’histoire du noir dans le monde de la mode, avec des exemples du monde de la peinture, du costume historique et de la mode contemporaine, en mettant l’accent sur les possibilités qu’offrent différentes matières comme la dentelle, la fourrure et le cuir.

Chaque tableau se compose d’une création d’un artiste contemporain (qu’Ann Demeulemeester, Olivier Theyskens, Dirk Van Saene, Givenchy (Riccardo Tisci), Chanel ou Gareth Pugh… accompagnée d’un tableau de maitre.

 Pour les informations pratiques : http://www.momu.be/fr/expositions/actuellement/index.jsp

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3 avril 2010 6 03 /04 /avril /2010 00:31

La chaussure la plus célèbre vient de fêter ses 50 ans et n’a pas pris une ride.

 

Créée en 1946 comme une chaussure orthopédique par Klaus Maertens, médecin militaire Allemand durant la seconde  guerre mondiale, aidé de son ami Herbert Funck, ingénieur,  suite à une blessure de ski, il s’agit de la première chaussure montée sur coussins d’air.

 

D’abord local, le succès de la fameuse bottine va s’étendre a toute l’Europe et faire l’objet du dépôt d’un brevet.

 

En 1959, Klaus Maertens accorde au fabricant Anglais Bill Griggs une licence exclusive, lequel va angliciser le nom pour l’appeler « Dr Martens ».

 

Le premier modèle sort de ses usines le 1er avril 1960 et sera baptisé 1460 et sera principalement destinée aux ouvriers qui apprécieront son grand confort, sa solidité  et son prix raisonnable.

 

Il s’agit d’une bottine utilitaire a 8 trous, de couleur rouge cerise, dont la semelle, montée sur coussin d’air dont la semelle est cousue de jaune selon le procédé Goodyear, et fabriquée a l’aide de matériaux imperméables aux huiles, graisses et acides.

 

 

imagesCANR1YPH

 

 

imagesCAYQ3F96.jpg

 

modele original 1460 rouge cerise

 

Adoptée par une partie des mods et des skinheads, puis par les punks, la Dr Martens devient rapidement une chaussure mythique, symbole de rébellion.

 

D’abord cantonnée aux milieux alternatifs, la Dr Martens s’est largement popularisée au début des années 90 pour devenir un véritable mythe.

 

Les modèles se sont diversifiés et sont déclinés dans de nombreux coloris et/ou imprimés. Actuellement, la clientèle est à 50% féminine.

 

En 2000, à l’ occasion de la célébration de son quarantième anniversaire, la marque s’est associée à des créateurs de mode (dont Vivienne Westwood, Paul Smith, Jean Paul Gaultier).

 

imagesCASUFO6G.jpg

 

 modele 14 trous cree par JP Gaultier

 

imagesCAIZ1D3S.jpg

 

 modele cuissarde (non commercialise) cree par JP Gaultier

 

Pour son cinquantième anniversaire, outre l’édition de séries limitées, il a été demandé à 10 artistes de réinterpréter à leur sauce un standard du rock représentatif de l’esprit de la marque. 10 réalisateurs ont été chargés de réaliser les clips.

 

http://50.drmartens.com/artists-and-tracks

 

A ce jour, plus de 100 millions de paires ont été vendues dans le monde. Compte tenu du dynamisme de la marque, il est à parier que la Dr Martens a encore de beaux jours devant elle.

 

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26 mars 2010 5 26 /03 /mars /2010 08:27

Ce nom plutôt évocateur était donné au 19ème siècle au ruban qui pendait a l’arrière du chapeau des femmes, et parfois aux deux pans de dentelles qu’on laissait flotter derrière une robe.


09-1-.jpg

Le flottement de ce ruban était suppose attirer le regard des hommes. La bienséance voulait qu’il ne soit pas trop long, afin d’éviter toute attitude ostentatoire.

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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 16:14
On se souviendra qu'a l'occasion de la sortie de leur film, les célèbres Simpsonsavaient rendu visite a leur amie Linda Evangelista a Paris et qu'ensemble, ils avaient fait le tour des principaux couturiers du moment.

Le magazine américain Harper's Bazaar(numéro d'août 2007) avait, sous le crayon du dessinateur Julius Preite, retransmis les moments forts de cette virée.

Non seulement les dessins représentent avec humour lesdits couturiers mais en plus, nos amis font honneur a la mode parisienne en revêtant les créations des défilés.

Jugez-en par vous-même :

Marge Simpson, en compagnie de Linda Evangelista, et de ses deux soeurs jumelles Patty et Selma Bouvier (qui nous ont fait la grâce de s'épiler pour une fois les jambes) déambulent dans les rues de Paris en robes de chez Gap.

Homer s'improvise bagagiste (valises Vuitton monogrammées) "motivé" par un donut que Bart lui met sous le nez, alors que Lisa et Maggie interprètent la French Touch en portant le béret.


simpsons1-thumb-1-.jpg
En visite chez Versace, Marge et Linda n'hésitentpas a s'offrir une petite coupe de champagne. Pour l'occasion, Marge a accepte d'abandonner son eternelle coiffure pour adopter celle, plus glamour, de Donatella :

simpsons2-thumb-1-.jpg
Les Simpsons se devaient de faire un tour rue Cambon. Marge et Linda portent avec élégance des modèles de la collection Chanel Couture. On notera qu'Homer apparaît en parfait clone de Karl Lagerfeld.


simpsons3-thumb-1-.jpg
Chez Lanvin, Lisa a le bonheur d'essayer un des fameux colliers de perles/tulle de la maison, tandis qu' Alber Elbaz examine avec attention le collier de la jeune fille :


simpsons4-thumb-1-.jpg
Chez les faux jumeaux Viktor&Rolf, Selma et Patty Bouvier, ainsi que Linda Evangelista acceptent de defiler et d'etre harnachées des fameuses structures en métal porte-vêtements/porte-lumières du show automne-hiver 2007 : 


simpsons5-thumb-1-.jpg
La virée ne saurait être complète si nos amies ne rendaient pas visite a l'enfant terrible de la mode, Jean Paul Gaultier, habillées des trenchs du créateur, tandis que ce dernier porte un sac Jane Birkin de chez Hermes (dont il est également en charge de la création) : 

simpsons6-thumb-1-.jpg
Pour finir, c'est au premier rang du défilé Louis Vuitton que les Simpsons applaudissent le talent de Marc Jacobs :

simpsons7-thumb-1-.jpg
Cette série d'illustrations est remarquable d'une part  par l'humour qu'elle dégage, et d'autre part et surtout par l'extrême fidélité avec laquelle Julius Preite a représenté les modèles présents lors des défilés automne-hiver 2007, permettant de qualifier ces pages de véritable "reportage illustre".

Pour s'en convaincre, il suffit de consulter cet article qui met en parallèle les illustrations et les photos des défilés :

link
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16 mars 2010 2 16 /03 /mars /2010 19:32
A l'occasion de la dernière fashion week de Paris, le magazine Elle (édition française n°3348 du 26 février 2010 ) a fait appel au talent de l'illustrateur Ulrich Schröder pour représenter plusieurs créateurs de mode, en situation, sous les traits des personnages de Disney, accompagnés d'autres toons.

Et le résultat est bluffant !

Ça débute avec Karl Lagerfeld, sous les traits du Grand Méchant Loup, arrivant chez Chanel, supporté par les applaudissements de personnages de Pixar et de Disney  :


lagerfeld jpg 
C'est ensuite au tour de Donatella Versace, incarnant une Daisy Duck glamour prenant la pause sous le crépitement des flashes des photographes et sous l'oeil admiratif de Flash McQueen (personnage du film Cars des studios Pixar) :


versace-jpg.jpg
Pour la maison Rykiel, ce sont Sonia et Nathalie que l'on retrouve a la terrasse du Café Flore, qui se trouve a proximité de leur maison de couture, située sur le boulevard Saint-Germain, alors que Clarabelle déambule dignement en total look Rykiel (robe en maille rayée, béret et crinière de feu) :

rykiel-jpg.jpg
Jean Paul Gaultier est ici représenté en Donald Duck habillé de la célèbre marinière, en compagnie de Clarabelle, Minnie et Remy (star du film Ratatouille), s'amusant sur une terrasse autour de croquis de mode :

gaultier-jpg.jpg
Pour Marc Jacobs, il est fait allusion au dernier défilé Louis Vuitton, dont il est directeur artistique des créations, et aux coupes afro qu'on a pu y admirer. Ce sont Minnie et Clarabelle qui jouent les mannequins, dans les mains expertes des coiffeurs : 


jacobs-jpg.jpg
Alber Elbaz, pour la maison Lanvin, supervise la vitrine de la célèbre boutique du faubourg Saint-Honore, tandis que Minnie essaye des escarpins en arrière-plan :

elbaz-jpg.jpg
Enfin, le superbe John Galliano clôt majestueusement le défilé devant une assemblée composée des personnages de Disney et Pixar :

galliano jpg 
L'exercice est plus que réussi, non seulement par la mise en situation pertinente de nos icônes de la mode mais également par le talent du dessinateur qui a réussi avec brio a capter leurs attitudes, comme leurs traits significatifs.

Cependant, l'initiative n'est pas nouvelle, Le magazine américain Harper's Bazaar avait, en août 2007,  publie sous le titre “The Simpsons go to Paris with Linda Evangelista" un article illustre par Julius Pre (billet a paraître) mettant en scène des créateurs de mode avec de réels clin d'oeil a leurs dernières créations.

Mais loin de nous l'envie de verser dans la critique excessive et saluons le talent incontestable de Ulrich Schröder.



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16 mars 2010 2 16 /03 /mars /2010 11:24

Fred Perry, la cultissime marque Anglaise vient d'annoncer qu'une partie de sa prochaine collection femmes sera concue par la chanteuse Amy Winehouse.

Étrange collaboration me direz-vous ? Pas tant que ça !

Il est vrai que ces dernières années, un nombre important de célébrités se sont étrangement "reconverties" dans une carrière de designer. Il est tout aussi vrai que l'instabilité de la chanteuse permet de douter de sa capacité a mener a bien un projet.

Et pourtant ...

Amy Winehouse est depuis des années une adepte de la marque aux lauriers. De plus, sa personnalité colle parfaitement a l'image rebelle qu'incarne la marque.

Alors, de quoi s'agit-il ?

Cette mini-collection se compose de 17 pièces aux accents très fifties (jupe droite, mini robe, slim, chemisier, veste et naturellement polo), déclinés en rose et noir.

images[4]


La collection sera disponible a partir du mois d'octobre 2010 dans les points de vente Fred Perry pour un prix allant de  24 a 110 euro.

points de vente Fred Perry : link

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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 08:22

Ça y est ! Je me lance et démarre mon propre blog.

Encore un blog de fille, me direz-vous ?

Et oui ! Encore un ... parmi tant d'autres.

Alors pourquoi cet énième blog alors qu'il existe déjà sur le net d'excellents blogs de ce type ?

ask_2-1-.jpg


Il serait prétentieux d'annoncer que ce blog sera plus complet, plus drôle, plus informatif, plus original (donc mieux) que les autres.

Ce qui est certain est qu'il tentera de ne comporter aucune (ou presque) publicité, même déguisée, pour une marque ou un produit, sauf a des fins purement informatives ou a titre de soutien.

Ce qui est sure également est que ce blog ne collera pas aux "tendances" saisonnières, donc éphémères, du monde de la mode, des cosmétiques et du reste, mais s'attachera plus a partager des coups de coeur.

Ce blog devrait parler d'un peu de "beauté", d'un peu d'histoire et de culture, d'un peu de pinups, de beaucoup de lingerie et énormément de chaussures.

Gageons simplement qu'il arrive a être toujours un peu différent, un peu décalé parfois, et jamais chiant.

Voeu presque pieux ... Je sais !

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